Eh bien, si ce titre peut interpeller, au moins il ne prête pas à confusion ! C’est en effet avec de l’air que fonctionnent le plus souvent les pompes à chaleur (certaines sont « air-eau »). Et, pour le petit côté humoristique de l’expression qui désigne quelqu’un qui a du « culot », on est aussi dans le vrai, puisque les pompes à chaleur ne sont pas forcément la première pensée que l’on va avoir si l’on parle de changer son installation de chauffage ou, d’une manière générale, de l’équipement thermique d’un habitat. Avec la pompe à chaleur, que des spécialistes comme ENR Grenelle Habitat peuvent installer chez toute personne disposant d’un minimum d’environnement extérieur près de chez elle, on évoque une solution un peu avant-gardiste, voire « culottée ».
Il y a encore peu de temps, les pompes à chaleur étaient pratiquement toutes connectées à un équipement de géothermie, ce qui rendait leur mise en place possible uniquement dans les maisons ou bâtiments implantés sur un terrain assez vaste pour effectuer des forages et réaliser l’équipement. L’arrivée de la pompe à chaleur air-air dans un format plus « agile » c’est-à-dire avec une puissance plus faible, a permis à d’autres types d’habitats individuels de s’équiper. Depuis 2015, si la vente des pompes à chaleur géothermiques a baissé, celle des pompes à chaleur thermiques a vu une augmentation importante en volume.
Comment justifier l’intervention d’acteurs comme ENR Grenelle Habitat ?
Des experts installateurs comme ENR Grenelle Habitat sont concernés au premier chef par ces installations dont le développement est le résultat des premiers effets de la transition énergétique en France. Car aujourd’hui, les particuliers aussi sont concernés par les mesures réglementaires prises par le Gouvernement français, à l’image des autres État Européens d’ailleurs.
Tout nouveau bâtiment doit correspondre aux normes précises qui définissent la baisse de l’utilisation des énergies fossiles et la part donnée aux énergies renouvelables. Pour ceux qui sont dans le cas d’une rénovation, il est évident que les problématiques sont différentes, car il est malaisé de « tout démolir » pour créer une nouvelle installation et surtout, cela coûte souvent plus cher de défaire ce qui a été fait et de recommencer à zéro, dans ces conditions précises. Heureusement, avec des conseillers techniques comme ENR Grenelle Habitat, il est possible de trouver une solution adaptée à chaque problématique.
On peut facilement trouver le cas de personnes ayant installé, dans les années 1980 à 1990, un système de chauffage central avec des radiateurs à eau alimentés en énergie par un générateur (chaudière) électrique. C’est ce qu’on appelle un chauffage électrique indirect. Les conditions financières du chauffage électrique ont certes bien changé depuis cette époque et il est donc difficile de gérer à la baisse une consommation d’électricité actuellement. D’autant que la chaudière installée dans les années 80 correspond à des formats qui n’existent plus aujourd’hui et qu’elle est certainement très gourmande en énergie, donc chère à assumer en termes de consommation. Cela peut être acceptable tant que la chaudière est en état de marche. Si c’est le cas, la pompe à chaleur peut être une solution extrêmement bien adaptée pour faire évoluer ce système de chauffage, car c’est elle qui va suppléer à la consommation exagérée d’électricité en insufflant au système son énergie venue de l’air extérieur et la restituer pour alimenter la chaudière.
Cette évolution est une démarche délicate à mettre en place, qui demande une étude préalable et des analyses pour effectuer la meilleure intervention et obtenir un résultat optimal. C’est pourquoi il est très important de faire appel à des professionnels dont les compétences ont été validées par des certificats d’agrément au niveau national et aussi par un nombre d’interventions suffisamment important pour avoir acquis une expérience dans ce domaine des énergies. Ce domaine est encore considéré comme relativement nouveau et de nombreuses entreprises agissant sur le marché n’ont pas forcément pu se forger une connaissance assez complète du métier, faute d’antécédents et d’interventions. L’écologie et la transition énergétique ont un prix.
Il faut donc aborder toute action dans ce domaine avec précaution et réflexion. Se renseigner, se faire conseiller, choisir son intervenant. Pour faire ce choix, certains éléments sont primordiaux, comme l’expérience, ainsi que cela a été mentionné, mais aussi la proximité, c’est-à-dire la capacité de l’entreprise choisie à appréhender l’environnement géographique de l’habitat, son orientation, du fait d’une connaissance du terrain, des aléas météo spécifiques à une région précise etc. Et bien sûr, les certifications, comme la Certification Qualibat Efficacité Énergétique, la Certification NF, la Certification Eurovent…
Pour ce qui concerne ENR Grenelle Habitat, aucun problème car l’entreprise dispose de toutes ces certifications, a le droit d’arborer le label CE et est dépositaire pour ses activités de la Norme NQA ISO 14001. Tous ces « laissez-passer » sont des atouts inestimables pour le client qui va choisir de travailler avec cette entreprise, car cela veut dire qu’elle connaît bien son métier et qu’elle s’entoure de techniciens et prestataires de même niveau. La qualité en priorité, pour un résultat réussi, c’est le moins que l’on puisse demander quand il s’agit de son propre habitat, qui abrite sa famille et qui est supposé fonctionner au mieux le plus longtemps possible et dans les meilleures conditions.
Comment choisir une pompe à chaleur ?
Tout d’abord il faut savoir qu’aujourd’hui, de nombreux simulateurs existent pour savoir « si cela vaut le coup » de se lancer dans un tel type d’installation. Et c’est important de faire ensuite une étude avec un pro, car chaque logement est différent, orienté différemment, implanté à sa manière, dans un lieu différent, etc. Donc les résultats ne peuvent être les mêmes d’un logement à l’autre.
Quoi qu’il en soit, si l’on veut savoir quel sera l’impact positif de l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) air-air dans son habitation, on peut avoir quelques indications. Les paramètres à estimer sont le système de chauffage actuel et la surface nécessaire à l’implantation de la première partie de la PAC, c’est à dire son unité extérieure. On parle d’une moyenne d’un peu plus de 900 € d’économie par an, une fois que la pompe à chaleur est en service.
Une pompe à chaleur (PAC) air-air, c’est quoi ?
Quand on y réfléchit, cela n’a pas l’air bien compliqué, car il s’agit d’une machine thermique dont le fonctionnement ressemble à celui d’un réfrigérateur… Mais encore ? Un réfrigérateur capte la chaleur qu’il contient et la rejette autour de lui, au point d’abaisser sa température au degré voulu. La pompe à chaleur air-air capte quant à elle de la chaleur à l’extérieur de l’habitation pour la « souffler » dans le lieu à chauffer et cela marche en toute saison.
Cela se complique à partir du moment où l’on sait qu’il faut quand même consommer de l’électricité, pour faire circuler le fluide caloporteur qui se trouve dans les connexions entre l’unité extérieure et l’unité intérieur. La chaleur « aspirée » à l’extérieur est rendue, par l’unité intérieure sous forme de calories stockées dans le fluide frigorigène intégré au système. La partie de l’équipement implantée à l’intérieur du logement est souvent un ventilo-convecteur. C’est lui qui concentre la chaleur via le liquide condensé et de là, l’action de ventilation expulse la chaleur dans l’atmosphère intérieure de l’habitation. La quantité d’électricité consommée par la circulation du fluide est relativement négligeable.
Le Coefficient Optimal de Performance, un outil de calcul de l’efficacité !
ENR Grenelle Habitat est particulièrement bien positionnée sur les pompes à chaleur et elle offre 2 grandes lignes de PAC : la version thermodynamique, uniquement basée sur l’air et la version aérothermique, qui utilise à la fois l’air et l’eau. Les marques les plus couramment utilisées sont des PAC Mitsubishi ou Daikin. Grâce à ces équipements de qualité, l’entreprise réalise des installations très efficaces et plébiscitées par les clients. Et ce n’est pas uniquement pour la qualité relationnelle des techniciens de la société que des produits et services sont appréciés.
Il y a des moyens de mesurer la performance des systèmes incluant des PAC, notamment le COP. Le Coefficient Optimal de Performance d’une pompe à chaleur est le point de rencontre entre la ligne formée par la consommation d’électricité utilisée exprimée par la PAC et celle du volume de chauffage produit. Le COP est le point d’intersection entre ces 2 lignes. Évidemment, plus ce coefficient est élevé, meilleure est la performance. Le COP est évalué en Kw. Les PAC mises en place par ENR Grenelle Habitat ont un COP moyen de 4,5Kw et leur consommation d’électricité est d’environ 1Kw, ce qui garantit un rapport très positif et un haut niveau de performance.
Cela a déjà été précisé, une pompe à chaleur air-air assure sa prestation, même lorsque la météo est à son plus froid ! Aucun problème quand l’air ambiant tourne autour de 0°C, même jusqu’à -7 ou -8° !! Toutefois, si par exemple on arrive sur une température de -10° C, il est clair que la production de chaleur sera bien moins efficace. Même si, dans l’hexagone, on se trouve rarement confronté à ce genre de température, il est quand même conseillé d’avoir « sous la main » un plan B, à savoir des radiateurs électriques qui, à ce moment, vont jouer leur rôle de chauffage d’appoint.
De nombreuses questions restent en suspens et sont à discuter avec le conseiller expert de l’entreprise : Est-ce que la pompe fait du bruit ? Y a-t-il une distance à respecter entre les 2 unités ? Sera-t-il possible de prendre sa douche avec de l’eau chauffée également par la PAC ? … Pour toutes les bonnes réponses, il faut voir le conseiller de chez ENR Grenelle Habitat.